mercredi 9 novembre 2011
Les yeux jaunes des crocodiles de Katherine Pancol
Quatrième de couverture :
Ce roman se passe à Paris. Et pourtant on y croise des crocodiles.
Ce roman parle des hommes.
Et des femmes. Celles que nous sommes, celles que nous voudrions être, celles que nous ne serons jamais, celles que nous deviendrons peut-être.
Ce roman est l’histoire d’un mensonge. Mais aussi une histoire d’amours, d’amitiés, de trahisons, d’argent, de rêves.
Ce roman est plein de rires et de larmes.
Ce roman, c’est la vie.
Mon avis :
J'ai bien aimé, malgré un début laborieux... Le roman, est découpé en 5 grosses parties (il n'y a pas de chapitres) ce qui peut paraître gênant. Mais vers la fin de la deuxième partie, j'ai commencé à devenir addict aux aventures de Joséphine, et de son entourage...
Au tout début de ma lecture, je me suis dit dans quoi, je m'embarque, on nous présente une multitude de personnages, j'avais peur de m'y perdre, mais finalement j'ai pris des notes et j'ai pu suivre.
L'auteur incarne un personnage différent à tour de rôle, mais ça ne m'a pas dérangé plus que ça.
J'ai trouvé que chacun de nous peut se retrouver au travers les relations familiales, dépeintes ici (même si certaines sont particulièrement dures, comme par exemple entre Josephine et sa mère Henriette, entre Joséphine et sa fille Hortense).
J'ai trouvé certains personnage particulièrement agaçants. Comme Antoine, le mari de Joséphine,que j'ai trouvé franchement irresponsable. Iris, la soeur Joséphine, qui s'ennuie ferme depuis, qu'elle s'est marié à un homme riche, veut toujours être au centre de l'attention. Henriette, la mère de Joséphine, une femme vénale et sans coeur.
J'ai trouvé, que le livre prend (un peu) la forme d'un conte. Sinon, la petite phrase de la quatrième de couverture "ce roman, c'est la vie" décrit exactement l'atmosphère de ce livre. En effet, ça parle de tout, de séparations, de couples, des enfants, de la vie professionnelle, d'amitié, des trahisons, des voisins, des problèmes d'argents,etc...
J'ai hâte de lire la suite.
Note : 4/5
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